Orphée et Eurydice

Ils ont écrit …

Orphée et Eurydice ( Éditions La Porte)

Grand courage de Ghislaine Lejard , celui de s’attaquer au mythe d’Orphée et Eurydice ! Mais quelle réussite, car l’angle est si inédit: le Temps. Sanda Voïca

Beaucoup de « raccourcis » dans l’écriture, densité donc. Bernard Perroy

« La mort se présente en invitée, le Temps bascule et Eurydice meurt sa mort ( comme on dirait: vit sa vie), tandis que Orphée se met au silence et que le Temps…réapparaît en blanc. Jeanpyer Poëls

C’est avec le temps en toile de fond, le temps éclaté ou dressé en barricades, que Ghislaine LEJARD revisite l’histoire d’amour que nous a léguée la mythologie grecque – histoire d’amour éternelle et, dans son éternité, toujours contemporaine. Le poète trace, d’un geste de ses mots, la force du désir. Désir/délire, toujours recommencé. Une force agissant jusqu’à l’éclatement du cri – jusqu’à la transparence de l’être, la naissance de l’étoile dans le grand mystère du monde. Jean-Claude Coiffard

 Beau plaisir de l’âme de découvrir tes mots encore immaculés, posés sur les lignes du temps qui passe. Michel-Xavier Fressard

« Il y a dans ces deux inséparables -Orphée et Eurydice- toute la précarité de nos vies, le grand jour et l’infini de la tendre nuit: notre éternité qu’alimente non la brûlure des regrets mais la vive flamme du souvenir. » Jacques Boislève

 C’est avec grand plaisir et d’un souffle  que ta poésie se lit, touchant du doigt le temps qui file et l’éternel qui demeure. Gaston Bouatchidzé